Un rapport de l’Institut de veille sanitaire (InVS), qui a étudié les prescriptions de 121.453 patients «nouvellement traités» (1) dans le Gard, suite aux inondations et aux coulées de boue subies par le département entre le 8 et le 10 septembre 2002 indique qu'après une catastrophe naturelle comme une inondation survient une augmentation notable de la consommation des médicaments psychotropes.